Aller au contenu

Willow (1988)

Willow

Un film de

Willow, un nain fermier et apprenti sorcier, recueille un bébé abandonné sur un fleuve. Il apprend bientôt que la reine maléfique Bavmorda est à sa recherche et devient bien malgré lui le protecteur de l’enfant.

Durée

2h05min

Titre original

Willow

Bande-annonce / Extrait

Lire la vidéo

Citation

Je vous avertis: il n'est pas question une seule seconde qu'un membre de ma famille tombe amoureux de ce bébé!

Critique express

Willow baigne de bout en bout dans l’univers de Tolkien : les nains, la magie, les “Brownies”, la sorcière maléfique, les guerriers et le château final (qui fait irrémédiablement penser à la forteresse du Mordor), etc. Avant Peter Jackson, Ron howard et George Lucas avaient réussi à proposer une aventure fantastique au pays des fées et des créatures extraordinaires.

Si l’on met de côté les effets spéciaux, brillants et novateurs pour l’époque mais qui ont un peu vieilli, Willow est un film familial épique aux personnages attachants qui ne laisse aucun détail de côté, du scénario aux costumes, de la mise en scène à la musique. Les acteurs sont très convaincants.

Il ne rencontrera hélas pas le succès que Lucas en attendait, et la critique n’a pas toujours été tendre avec cette fantasy efficace pleine de bons sentiments. Willow est pourtant un superbe spectacle familial, plein de rebondissements merveilleux.

Bande originale / Musique

En l'absence d'une vidéo pertinente, une vidéo de substitution peut avoir été choisie.

Carte d'identité

Univers
Courant cinématographique

-

Cycle

-

Tandem

-

Atmosphères

Fiche technique

Métrage
Format(s) de pellicule
Chromie
Versions alternatives

-

Effets visuels
Techniques d'animation

-

Équipe technique

Réalisation
Photographie
Musique
Effets spéciaux
Effets visuels

-

Découvrez aussi...

Magazine

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

Qui veut la peau du cinéma ?

Les temps sont durs, sombres et chaotiques. Vous n’avez pas l’impression de vous être réveillé un matin en pleine dystopie ? D’avoir débarqué au beau milieu d’un mauvais film ? C’est “normal”…