Soleil vert (1973)
Soleil vert
Un film de Richard Fleischer
Le détective Thorn, avec son vieux complice “Sol”, enquête sur la mort d’un homme très riche. Il est rapidement convaincu qu’il s’agit d’un meurtre et entreprend de découvrir la vérité coûte que coûte.
Durée
1h36min
Titre original
Soylent Green
Année
Origine
Interprétation
Bande-annonce / Extrait
Citation
Nos magiciens de la science ont empoisonné l'eau, pollué le sol, détruit les plantes et la vie animale.
Soleil vert Tweetez
Critique express
La scène d’introduction, hypnotique, plonge le spectateur dans un monde industrialisé, pollué, étouffant et peuplé d’humains masqués. L’homme a détruit sa planète, l’a rendu invivable.
Le détective joué par Charlton Heston et son complice “Sol” (Edward G. Robinson) ne sont ni de la même génération, ni du même état d’esprit. L’un veut y croire, l’autre pense que le monde est fichu. À la manière d’une quête initiatique, Soylent Green filme un détective (la jeunesse volontaire et optimiste) qui va devoir affronter la vérité de son époque, une vérité froide et inhumaine.
Visionnaire et sans concession, le film de Richard Fleischer prend la forme d’un Polar de science-fiction mais se mue progressivement en dystopie à charge contre une société de la surconsommation et du plaisir immédiat qui mène l’Humanité à un destin funeste. La photographie des scènes ainsi que les cadrages induisent une sensation quasi physique chez le spectateur, qui étouffe peu à peu… jusqu’au dénouement “terminal”, qui le laisse sans espoir, sans respiration.
Bande originale / Musique
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Carte d'identité
Univers
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Courant cinématographique
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Cycle
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Tandem
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Thématiques
Atmosphères
Fiche technique
Métrage
Format(s) de pellicule
Ratio image
Son
Chromie
Versions alternatives
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Effets visuels
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Techniques d'animation
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Équipe technique
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
Effets spéciaux
Effets visuels
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Production
Magazine
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