Aller au contenu

Le Grand Bleu (1988)

Le Grand Bleu

Un film de

Jacques et Enzo se connaissent depuis l’enfance et une amitié empreinte de rivalité s’est installée entre les deux passionnés de plongée. Enzo invite un jour son ami à en découdre au championnat du monde d’apnée.

Durée

2h48min

Titre original

Le Grand Bleu

Bande-annonce / Extrait

Lire la vidéo

Citation

Mais comment il fait pour respirer, là-dessous?

Critique express

Film d’une génération désabusée qui a vu les empires financiers et la culture techno-économique gangréner toute la société, Le Grand Bleu propose une vision naïve et mélancolique de la vie, un regard “adulescent” sur le monde tel qu’il fonctionne (trop vite, trop fort, trop technique).

Jacques est un enfant éternel, il ne comprend pas le monde des adultes alors qu’il en fait partie intégrante. La quête du résultat, la compétition (même sentimentale ou sexuelle), le regard définitif des autres, tout cela l’agresse et l’effondre sur lui-même. Luc Besson a été un peu accusé de survoler son sujet, de ne pas entrer réellement dedans. Mais n’est-ce pas la force et la vraie démonstration du film? De refuser les outils de l’époque?

Film poétique et contemplatif, drôle et tragique à la fois, profondément humain, Le Grand Bleu est sublimé par la musique planante d’Éric Serra et le bleu profond de l’océan. Un film pour les rêveurs éveillés.

Bande originale / Musique

En l'absence d'une vidéo pertinente, une vidéo de substitution peut avoir été choisie.

Carte d'identité

Univers

-

Courant cinématographique

-

Cycle

-

Tandem

-

Fiche technique

Métrage
Format(s) de pellicule
Versions alternatives

-

Effets visuels

-

Techniques d'animation

-

Équipe technique

Réalisation
Photographie
Musique
Effets spéciaux

-

Effets visuels

-

Découvrez aussi...

Magazine

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

Qui veut la peau du cinéma ?

Les temps sont durs, sombres et chaotiques. Vous n’avez pas l’impression de vous être réveillé un matin en pleine dystopie ? D’avoir débarqué au beau milieu d’un mauvais film ? C’est “normal”…