L’Armée des 12 singes (1995)
L'Armée des 12 singes
Un film de Terry Gilliam
Depuis un futur ravagé par une pandémie dévastatrice, ce qu’il reste de l’humanité réfugiée sous la terre propulse un cobaye à travers le temps pour recueillir des informations essentielles concernant la nature du virus.
Durée
2h09min
Titre original
Twelve Monkeys
Année
Origine
Interprétation
Bande-annonce / Extrait
Lire la vidéo
Citation
C'est quoi notre rôle maintenant ? On est tous des consommateurs. Mais si tu dépenses rien, hein, t'es quoi ? Un malade mental !
Critique express
Adapté du court métrage magistral de Chris Marker “La Jetée”, le film L’Armée des 12 singes est un ovni steampunk et millénariste. Terry Gilliam réussit à reprendre l’idée de départ du film de Marker pour en faire un film de science fiction déjanté et électrique.
Le trio d’acteurs Bruce Willis, Brad Pitt et Madeleine Stowe fonctionne parfaitement. Les chassés-croisés entraînés par les voyages dans le temps sont réussis et permettent au scénario d’avancer vite, sans temps mort. La psychologie des personnages, les motivations des uns et des autres, leur destin inéluctable convergent vers un point du temps et de l’espace que le spectateur découvre dans les dernières secondes.
Terry Gilliam démontre une fois de plus sa capacité à créer un univers de toute pièce, aux couleurs et aux formes singulières, donnant ainsi à l’histoire originale de Chris Marker un autre destin, dans une autre dimension.
Bande originale / Musique
En l'absence d'une vidéo pertinente, une vidéo de substitution peut avoir été choisie.
Carte d'identité
Thématiques
Atmosphères
Fiche technique
Métrage
Format(s) de pellicule
Ratio image
Son
Chromie
Versions alternatives
-
Effets visuels
-
Techniques d'animation
-
Équipe technique
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
Effets spéciaux
Effets visuels
-
Découvrez aussi...
Magazine
Qui veut la peau du cinéma ?
1 janvier 2022
Les temps sont durs, sombres et chaotiques. Vous n’avez pas l’impression de vous être réveillé un matin en pleine dystopie ? D’avoir débarqué au beau milieu d’un mauvais film ? C’est “normal”…