Vidéodrome (1983)
Vidéodrome
Un film de David Cronenberg
Max Renn est responsable de la programmation d’une chaîne du câble spécialisée dans les émissions extrêmes. Il va être confronté à un nouveau type de programme qui manipule les esprits.
Durée
1h27min
Titre original
Videodrome
Année
Origine
Interprétation
Bande-annonce / Extrait
Citation
Regarder la télé les remettra en forme pour revenir dans la table de mixage du monde !
Vidéodrome Tweetez
Critique express
Un des meilleurs films de David Cronenberg, à n’en pas douter. Il s’agit d’une plongée dans l’univers de la télé poubelle, où l’on suit la descente aux enfers d’un responsable de programmation d’une chaîne câblée spécialisée dans les émissions extrêmes.
Un nouveau type de programme, poussant un peu loin encore les limites de la morale, tombe entre les mains de Max Renn. La tentation est forte et l’emporte. Comme souvent chez Cronenberg, le technique et l’organique s’observent, se percutent, avant de fusionner dans un carnage complet.
Traitant de la fascination qu’exercent les images sur notre subconscient, Cronenberg manipule à merveille les vices et les faiblesses de ses personnages (et donc de ses spectateurs) afin de les confronter au point de non retour. Visionnaire, ce film de genre inquiétant entrevoyait déjà le rapport aux écrans et la métamorphose inévitable des humains à terme.
James Wood et Debbie Harry sont remarquables dans ce chassé-croisé érotico-horrifique.
Bande originale / Musique
En l'absence d'une vidéo pertinente, une vidéo de substitution peut avoir été choisie.
Carte d'identité
Univers
-
Courant cinématographique
-
Cycle
-
Tandem
-
Thématiques
Atmosphères
Fiche technique
Métrage
Format(s) de pellicule
Ratio image
Son
Chromie
Versions alternatives
-
Effets visuels
-
Techniques d'animation
-
Équipe technique
Réalisation
Scénario
Photographie
Musique
Montage
Effets spéciaux
Effets visuels
-
Magazine
Qui veut la peau du cinéma ?
Les temps sont durs, sombres et chaotiques. Vous n’avez pas l’impression de vous être réveillé un matin en pleine dystopie ? D’avoir débarqué au beau milieu d’un mauvais film ? C’est “normal”…